A propos
de Constance
C’est après plusieurs années passées à travailler dans l’industrie du textile que Constance (décoratrice étalagiste de formation), décide d’entreprendre sa reconversion.
L’idée était simple : Pouvoir associer sa connaissance pointue des tissus et sa passion pour la décoration à un métier artisanal à la fois ancestral mais tellement au goût du jour.
Une formation reconnue et un diplôme CAP de tapissier d’ameublement lui permettent d’acquérir ces gestes et ce savoir faire indispensable à la réalisation de ce projet.
Les services proposés par Constance vont ensuite au-delà d’une simple restauration de fauteuil : Aller à la rencontre des clients, apprendre à déceler leurs goûts, associer des tissus d’éditeurs à du mobilier ayant souvent plusieurs décennies voire, parfois, plus d’un siècle.
Ne plus jeter, réparer, relooker, redonner vie à un mobilier familial porteur de tant de souvenirs… tout cela animé par une grande passion, une bonne maîtrise et surtout par l’amour du travail bien fait.
Savoir Faire
L’artisanat d’art pratiqué par les tapissiers décorateurs n’a pas sensiblement évolué depuis le XVIIIe siècle, abstraction faite de l’invention du ressort et du capiton au XIXe siècle. La liste des outils utilisés reste presque la même : aiguille droite, carrelet (aiguille courbe), houseau, ramponneau, ciseaux à dégarnir, chasse-clou, tire-crin, tire-sangle…
En tant que restauratrice, Constance apporte à l’objet confié embellissement et confort. Ses connaissances en histoire de l’art et de l’ameublement lui permettent de respecter les styles et les matériaux d’origine.
En tant que conceptrice, elle sait traduire la demande de ses clients avec qui elle traite en direct. Par sa maîtrise de la technique et sa capacité à s’adapter, grâce à son habileté et son sens de l’harmonie, elle est en mesure de répondre à leurs exigences et de résoudre les difficultés de réalisation de l’ouvrage en proposant des solutions. La qualité du travail doit être irréprochable, elle dépend principalement des finitions qui se doivent être parfaites.
Le travail décrit ici est dit de luxe, il résulte d’un savoir-faire ancestral.
La profession ignore le machinisme, les techniques utilisées demeurent séculaires.